Sur les 167 caméras de surveillance que compte la ville d’Alès, plus d’une vingtaine ont été détruites volontairement depuis le début de l’année. Les deux dernières, en moins d’une semaine, par arme à feu.
Quatre douilles de chevrotine aux pieds de la caméra de vidéosurveillance qui n’a pas résisté, pas plus qu’une autre dans le même quartier des Cévennes. Autre point commun, arme à feu dans des zones de trafic intense. Depuis neuf mois, 22 caméras détruites (incendie, voiture-bélier et maintenant arme à feu). Coût pour le contribuable : 150.000 euros.
[Repris de France Bleu Gard, 04.09.2019]