Nous apprenons des médias locaux que dans la nuit du 4 au 5 février, une des entrées principales du tribunal, celle permettant l’accès à la police pénitentiaire, a été incendiée. Quelques mètres plus loin, sur le mur de l’ancienne prison, l’inscription « Liberté pour tous, feu aux tribunaux » a été laissée.
Quelques jours plus tôt, les vitres du siège du Credito Valtellinese de Rovereto ont été brisées au cours de la nuit du 30 au 31 janvier. Sur l’une des fenêtres, il restait l’inscription suivante: « NO CPR* – NI A MODENA NI AILLEURS ».
[Repris de Cracher dans la soupe]