La catastrophe, c’est le capitalisme
Plus dangereux qu’un virus, ce sont les militaires qui patrouillent dans les rues.
Parce qu’ils sont le bras armé du pouvoir, parce qu’ils envahissent, assassinent et saccagent pour les intérêts capitalistes dans toute guerre.
Parce qu’ils protègent les riches face aux représailles des pauvres. Ils ne te protègent pas.
Ce ne sont pas des sauveurs, mais des assassins
[Traduit de l’espagnol de contramadriz, 02.04.20]