Dimanche 19 avril à la tombée de la nuit, dans un Paris vide et silencieux, quelques solidaires sont venus participer à briser l’isolement des détenus de la prison de la Santé
Aux cris de « liberté » et aux explosions feux de d’artifices, les détenus ont répondu bruyamment.
Les prisonnier-es se révoltent partout dans le monde, touché-es de plein fouet par les mesures anti pandémie, soyons solidaires.
Tant qu’un-e sera enfermé-e, personne ne sera libre !
Feu aux lieux d’enfermement et au monde qui les produit !
[Publié sur indymedia nantes, 26.04.20]