Nous refusons de laisser régner la tranquillité, nous avons choisi de saboter la paix sociale, nous avons opté pour la confrontation.
Nous n’attendrons pas l’unité, nous provoquerons des conflits et nous rendrons les coups, nous sommes chaque jour sur le pied de guerre, nous ne serons plus jamais des esclaves.
Des explosions toujours plus puissantes et directes continueront de retentir. Cette nuit [12 au 13 juillet 2017, NdT], ce n’était qu’un test. Nous aiguiserons mieux nos couteaux.
Nous revendiquons le dépôt d’un engin explosif dans le sas de DAB de la Banorte en plein centre de la capitale pourrie de Oaxaca.
Avec nous, il n’y a aucune négociation possible.
Nous ne demanderons jamais justice, nous sommes en recherche de vengeances !
Complicité avec les clandestins qui hurlent et sortent les crocs !
Saluts aux compagnon.ne.s qui luttent depuis l’intérieur des cages !
Vive l’anarchie !
[Traduit de l’espagnol de Contrainfo, 14.07.2017]