Comme le disent à juste titre des compas depuis la France, des voitures, il en brûle toutes les nuits, mais cette fois-ci, mercredi 13 mars, vers 2h, ça a été au tour d’une voiture sérigraphiée de la police de la ville de Buenos Aires, qui dormait dans l’ombre devant le 1950, rue Teodoro Vilardebo.
La police est toujours dans le collimateur des bombes qui essayent de détruire l’État.
Vive le chaos !
[Traduit de l’espagnol de Contrainfo, 03.04.2019]