Comme bien souvent, les médias nous informent de certains actes d’hostilité contre ce monde d’autorité uniquement lorsque la maison poulaga obtient des résultats. C’est ce qui s’est passé il y a quelques jours à Sète, dans l’Hérault.
Vendredi 22 février, on apprenait par le Midi Libre que le portail de l’école Saint-Vincent à Sète avait été recouvert d’un tag : « La seule église qui illumine est celle qui brûle » (à Grenoble, ce slogan a trouvé quelques échos, il y a quelques semaines). C’est aussi précisément ce matin-là que plusieurs personnes habitant Montpellier (et que les flics relient à « un groupuscule d’extrême-gauche ») ont été placées en garde à vue. Les enquêteurs les soupçonnent d’être les auteurs de ces tags anti-chrétiens et d’autres sur plusieurs autres murs de la ville. Les inculpées ont été identifiées à cause des bandes de vidéo-surveillance de la ville (capuche-écharpe, la base^^).