Dans la nuit du réveillon de Noël (ou la suivante), la porte vitrée de la mairie d’Alès avait volé en éclats.
Le 18 janvier, on apprend par la presse locale (Midilibre) que les enquêteurs ont identifié un homme de 35 ans grâce aux caméras de surveillance qui filment le parvis de la mairie. Les flics l’ont repéré au sein de la manifestation contre la réforme des retraites du 16 janvier dernier puis arrêté après la dislocation, à proximité de la gare ferroviaire.
« Placé en garde à vue, il a reconnu les faits. Faute d’avocats, en grève, le mis en cause n’a pas pu être jugé en procédure de comparution en reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC), aussi appelée plaider-coupable. Remis en liberté, il sera à nouveau convoqué devant la justice, en mars. »