Nantes : En marge pour pourrir la députée LREM et candidate à la mairie – 6 février 2020
L’action a eu lieu en plein après-midi, ce jeudi 6 février, jour de manifestation contre la réforme des retraites. Une douzaine de personnes porteuses de masques colorés s’en sont pris à la permanence de campagne de Valérie Oppelt, candidate LREM à la mairie de Nantes. Des tags hostiles à Emmanuel Macron ont été écrits à la peinture noire, tandis que l’inscription « L’économie règne en maîtresse » a été collée sur la vitrine, située rue Voltaire, à deux pas du Muséum d’histoire naturelle. L’action a été revendiquée dimanche 9 février sur indy nantes.
L’équipe de celle qui est aussi députée de Loire-Atlantique se trouvait à l’intérieur lorsque l’action s’est produite. La groupe aurait même tenté d’entrer dans le local, sans toutefois y parvenir, les crapules à l’intérieur s’étant enfermé à l’intérieur. Les flics, ayant mis moins de 5 minutes à arriver, ont reçu toute la gratitude de la députée et empêché l’envahissement du local.
Joué-les-Tours (Indre-et-Loire) : irruption au local de la députée LREM – 6 janvier 2020
La permanence de la députée LREM Fabienne Colboc à Joué-lès-Tours a été taguée ce jeudi matin, en marge d’une manifestation contre la réforme des retraites. « Crève bourgeois« , accompagné du symbole anarchiste, ou encore un « brûle bourgeois » tagué sur la porte. L’électricité a aussi été coupée, ce qui a déclenché l’alarme. La députée rapporte également que les individus, « certains d’entre eux cagoulés« , s’en sont « pris à mon collaborateur« .
Dans le même temps, entre 1 000 et 1 500 personnes manifestaient dans les rues de la ville en opposition à la réforme des retraites du gouvernement. Selon France Bleu, la permanence de la candidate LREM à Joué-lès-Tours Laurence Hervé a aussi subi des dégradations, bien que mineures, après que des manifestants ont tenté de forcer l’entrée sans y parvenir. (FranceBleu)
LREM Limoges : du fumier pour les fumiers – 6 février 2020
Un dépôt de fumier bien gras et odorant a été effectué devant la porte du local macroniste de la République en marche, 22, rue Adrien-Dubouché à Limoges, ce matin, jeudi 6 février, accompagné d’inscriptions de circonstance comme : « Bande de fumier, vous nous avez mis dans la merde, à votre tour ! ».
Encore des bien fâchés qui ne veulent rien lâcher…
[Publié sur labogue.info, 06.02.2020]
Lannion (Côtes-d’Armor) : pour une fois, les murs de l’école disent des trucs intéressants…
Dans la nuit du mercredi 5 au jeudi 6 février à Lannion, les murs de l’école du Rusquet ont été tagués. Un signe anarchiste, un appel à la résistance et des propos hostiles à la République en marche. « Des tags sur une école publique, laïque, c’est inadmissible, s’indigne Patrice Kervaon, adjoint aux affaires scolaires.
[Repris de divers articles de presse, 06.02.2020]
Rouen (Seine-Maritime) : « Allô commissaire bobo? »- 5 février 2020
Mardi 5 février, un attaché parlementaire a été agressé à la Halle aux toiles, en marge du meeting du candidat à la mairie de Rouen (Seine-Maritime) Jean-Louis Louvel.
Charles Morgat, attaché parlementaire de la députée LREM Sira Sylla, explique à 76actu avoir reçu un coup de poing, ainsi qu’un œuf dans l’œil.
L’agression a duré « quelques minutes », en marge du meeting politique, explique la victime qui a déposé plainte. Alors que Charles Morgat était présent sur place pour contribuer à l’organisation de l’événement, donnant des consignes pour dresser le buffet, « une vingtaine de militants et Gilets jaunes » l’ont suivi, à l’entrée de la Halle aux toiles, tandis qu’il était au téléphone « avec un commissaire de police pour lui décrire tout ce qu’il se passait ». Il aurait alors été verbalement pris à partie, les manifestants lui lançant des : « sale bourgeois, sale millionnaire ». « Je me suis pris un coup de poing dans la tempe gauche, et un œuf éclaté dans mon œil droit. Ils m’ont laissé rentrer dans la salle sous une haie d’honneur, en me caressant les cheveux. »
Le « malheureux » bourgeois s’est vu prescrire 5 jours d’ITT pour des ecchymoses sur le visage et un nez gonflé et douloureux ». Aucune interpellation n’a été signalée par la police au lendemain de l’agression. Une enquête est en cours.