Besançon (Doubs) : Bouffer du riche (et) pas d’la merde !

Le torchon local de l’Est Répugnant nous apprend le 13 août que la chaîne de bijouterie « Mauboussin », récemment installée Grande Rue en plein centre-ville, s’est fait fracasser sa vitrine à deux reprises en une semaine. La première fois, c’était le 7 août. La deuxième, ce fut ce lundi 12 août, en plein après-midi. Dans la foulée, le restaurant de la chaîne Quick de la même rue prit lui aussi des coups. Il avait visiblement une dent contre le capitalisme.
On laisse volontairement la prose du journaflic dénommé ‘V.C’, qui lui ne fait jamais de « crises ». Ce dernier est tout ce qu’il y a de plus normal dans ce monde. Lui qui, avec ses collègues, s’évertuent
à le défendre chaque jour coûte que coûte et en faisant preuve d’une docilité exemplaire envers l’Etat et ses chiens de garde.

« L’homme a visiblement une dent contre les bijouteries et les chaînes de fast-food. Ses dernières crises de vandalisme en témoignent. En l’espace d’une semaine, il s’en est pris aux mêmes enseignes et de la même façon dans le centre-ville de Besançon.
Lundi, un homme déambule dans la Grande rue. Visiblement éméché, il décide de s’en prendre à la vitrine de l’établissement Mauboussin. Armé d’une plaque métallique, il frappe la devanture en verre, créant de gros impacts de part et d’autre. Un peu plus loin, c’est le restaurant Quick qui en prend pour son grade. Même méthode, mêmes agissements.

Les policiers sont prévenus. Rapidement, une patrouille se rend sur zone et appréhende l’individu. Âgé de 27 ans, l’homme est fortement alcoolisé. Il présente un taux de 2,3 g d’alcool par litre de sang. Il est placé en garde à vue dans la foulée.
Lors de son audition, il va reconnaître les faits sans donner d’explications plus précises. Les agents connaissent bien le malfaiteur. Le 7 août dernier, il a été interpellé à Besançon pour des faits totalement identiques.
Il a écopé d’une convocation devant un officier de police judiciaire et devra répondre de ses actes devant le tribunal pour avoir commis ces dégradations en récidive ».

 

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